Après deux années de luttes citoyenne et politique, la mairie de Rouen et le promoteur immobilier Sedelka sont parvenus à trouver un compromis qui permet de sauvegarder une des jardins populaires. Ces derniers devaient être transformés en résidence de standing. Une victoire en demi teinte comme le souligne Reporterre, car il n’y a ni rachat par la ville de prévu, ni rétrocession de prévus et Sedelka reste donc propriétaire. Les jardins échappent au béton, mais ils ont été partiellement détruits, et le projet amendé implique tout de même la destruction d’un bâtiment.
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